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Entre Enfer et Paradis
5 juillet 2004

Ni toi ni moi n'aurions pu prévoir, ni toi ni moi

Ni toi ni moi n'aurions pu prévoir, ni toi ni moi n'y étions préparés. Ainsi, bientôt nous serons séparés. Ne sois pas triste, la vie est ainsi, pleine de surprises, bonnes ou mauvaises. La maladie ne préviens pas, mais maintenant nous savons. Je ne veux pas te savoir triste, je ne veux pas te voir pleurer, laisse moi m'endormir  et après, tu continueras ta vie. Amuses toi, mais pense a moi. Ne t'en fait pas, de là où je serai je ne t'en voudrais pas, je veillerais sur toi, et sur ta nouvelle famille. Prends soin de toi après mon départ et surtout n'oublies pas que j'aurai vécu mes derniers jours avec toi et qu'ils sont de loin les plus beaux.
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Commentaires
U
Envie de partager qqch avec une personne qui écrit tellement "profondément"...
D
Je ne sais pas qui parle dans ces quelques vers de prose, je ne sais pas à qui ils sont destinés, je ne sais pas s'ils sont l'émanation d'une triste réalité ou d'une mélancolique fiction... Mais, je lis des paroles empruntes d'un profond amour, d'une passion qui transcende la Mort et étincelle éternellement dans l'Au Delà.<br /> Je te remercie de m'avoir invité à lire ces quelques mots d'une rare et si belle intensité... Que mon âme soit damnée si je ne reviens pas visiter ton blog encore et encore... Merci!
Entre Enfer et Paradis
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